Arthur Kirkland [UC]

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Un peu d'info, bah ouai je suis pas John Doe ! *bus*



• My Country
Ma personne sous toutes les coutures...


# Caractère :


So calm...
Le flegme britannique est légendaire ; et ce n’est pas l’anglais sirotant en silence sa sempiternelle tasse de thé en relisant son livre préféré près du feu qui vous dira le contraire. Arthur a un sens inné de la mesure, aimant régler sa vie sur des choses simples et durables. Il prend soin de son jardin et préparera invariablement les gâteaux pour le thé de six heures PILE. Rester un peu détaché, maintenir sa dignité, et ne jamais s’extérioriser trop bruyamment. Il verra quelque chose de choquant (« so shocking ! » ) et haussera subtilement un sourcil (même si subtil et sourcil semblent être un oxymore chez Arthur, leur grande taille permet au moins un effet efficace). Généralement le reste de son visage demeurera aussi impassible qu’un muffin aux myrtilles (et encore.). Ce qui devra arriver arrivera ; ce n’est pas la peine de paniquer. Son caractère stoïque et endurant lui a sauvé la face maintes fois…Car rester droit comme un piquet et siroter son thé lorsque le monde se démolit tout autour, quand la crise et les guerres menacent, n’esquisser qu’une moue imperceptible de dédain devant la pire des catastrophes…c’est une forme de courage. Ou de lâcheté.


So eccentric
Arthur vit un peu dans son petit monde. Appelez cela un refuge, un refoulement, une marque de son isolation. Mais tout autant qu’il est un snob flegmatique à la fierté sans pareilles, rêvant de grandeur, notre Arthur est aussi un doux rêveur. Il a un imaginaire immense peuplé de légendes glorieuses, de créatures merveilleuses, de personnages fantastiques. Être qui font tellement partie de son existence qu’elles l’accompagnent souvent. Ce qui peut être incroyablement adorable ou incroyablement louche. Depuis un fauteuil, son regard vert plongé dans la contemplation, des mondes vastes et poétiques s’ouvrent à lui, loin des problèmes et des frustrations. Grand lecteur, il aime tout ce qui s'apparente de près ou de lui à l'étrange, le saugrenu, l'insolite. Une de ses bizarreries les plus notables est de passer à l'acte en ce qui concerne les sciences occultes...Avec des résultats plus ou moins réussis il est vrai, mais des rumeurs étranges flottent autour de lui...Mystère, mystère...Mais on préfèrerait presque avoir la confirmation de ces talents étranges plutôt que la manifestations quotidienne de ses goûts encore plus inquiétants. Cuisine douteuse, vêtements étranges, us et coutumes bizarres...


So prideful...
Mais voilà…si Arthur en était resté là niveau caractère, il serait le garçon un peu louche bien qu’inoffensif qui vous sourit calmement du fin fond de la bibliothèque. Or, comment ce buveur de thé au premier abord sans histoires (juste gentiment déluré) a-t-il réussi à s’attirer les piques d’une bonne partie de ses petits camarades (sans parler de sa famille) ?! Eh bien, voilà. Mister Kirkland possède une quantité assez "shocking" d’orgueil. Une fierté bien singulière qui repose probablement sur le fait qu’il est considéré comme le petit dernier de la famille nordique, a subi de nombreuses influences culturelles de ses chers voisins étant petit, et est surtout bien le seul parmi nos amis les européens à rester un peu à l’écart sur son île (avec en circonstance aggravante, France comme voisin, mais passons…). Seul et empli d’amour propre, il eut vite fait de devenir un petit malin en ce qui concernait des petits trucs comme...euh...dominer le monde, par exemple. Enfin. Être on ne peut plus envahissant, imposer sa loi à un bon nombre de nations qui ne pouvaient bientôt plus le supporter et finir par se couvrir de ridicule. Mais finalement, rien n'est plus doux à Arthur que le goût de la victoire...même lorsque celle-ci tombe en lambeaux comme son Empire et ne laisse qu'un goût amer de gloire passée...Et ce comportement hautain lui a valu le titre de "snob". Car une nation comme lui ne peut pas s'empêcher d'afficher un petit air supérieur en permanence, et ce que ce soit sur un champ de bataille ou devant une tasse de thé (les deux à la fois ne sont pas inconcevables). Quelques mots dédaigneux et acérés sont parfois ses plus grandes armes contre l'immonde et ignorante plèbe (comportant souvent les trois-quarts de ses camarades, selon lui).


So frustrated!...
Un leader calme et fier, cela aurait de l’allure…Chose qu’Arthur est malheureusement incapable de maintenir durablement afin d’avoir l’air d’un personnage d’une classe et d’un détachement admirable. Car Arthur, disons-le clairement, est, au fond de son cœur, un énervé de première catégorie. Un rien peut le conduire dans une passion déchaînée et des colères terribles. Ne faites pas d’allusions douteuses sur sa cuisine. Ne dites pas que l’anglais et l’américain sont la même langue. Ne lui rappelez pas la quantité époustouflante de mots français dans sa langue. N’insinuez pas que Shakespeare aurait pu être italien. Ne…En clair, Arthur est horriblement susceptible. Ce qui est suprêmement drôle si vous n’êtes pas impliués dans l’histoire, ou alors dans le cas contraire veut dire que vous allez être maudit par les forces anglo-saxonnes occultes. S‘il est fort en diplomatie et en échanges marchands, les relations humaines ne sont pas son point fort. S’il a la maturité intellectuelle et stratégique suffisante pour bâtir un empire, il a au moins le même genre de réaction niveau sentiments qu’un ado de treize ans, avec les conséquences désastreuses que tout un chacun peut imaginer…(Je présente mes plates excuses aux possibles ados de treize ans passant par là. Je suis sûr que vous êtes généralement un peu plus balèzes qu’Arthur, mais il faut bien quantifier son incompétence !) Être habitué à intérioriser ses sentiments signifie généralement qu’il se sent constamment gêné ou malmené, allant même jusqu’à injecter une bonne dose de paranaoïa dans n’importe quelle situation. Il devient frustre, cynique, agressif et généralement invivable. Et encore, ce n’est que lorsqu’il boit du thé. Lorsque Arthur décide qu’il peut boire quelque chose d’un peu plus fort tout en maintenant sa dignité (et sa présence d’esprit)…il deviendra un peu plus expressif et joyeux, ou alors complètement insupportable...


But so...
Et pourtant…on le supporte. Certains le supportent très bien même. Il est fort étrange que quelqu’un d’aussi acerbe et reclus qu’Arthur se trouve néanmoins entouré la plupart du temps. Il est encore plus étrange que lui-même cherche souvent la compagnie de personnes avec lequel il devrait pourtant, selon ses principes, éviter tout contact. On le voit rarement satisfait d’être avec des personnes en particulier ; du moins, son visage le fera rarement paraître. Et pourtant…Arthur ressent le besoin d’être ainsi entouré. Il paraît paradoxal que ce personnage isolé ait crée une aussi grande famille autour de lui. Famille pleine de problèmes, famille qui se passerait bien de lui et inversement, mais…famille, tout de même, dont il est le maillon central. Seuls ceux qui le côtoient constamment peuvent comprendre que son type d’affection n’est pas toujours visible à la surface ; mais elle est bien là, au fond, plus complexe et plus chaleureuse que l’on pourrait imaginer. Une affection maladroite, gênée, mais droite et honnête. Malgré son orgueil, son cynisme, sa mauvaise humeur, il est incapable d’être calculateur et réellement trompeur. Il donne juste, sans cérémonie, tout ce qui lui est possible de donner, tout en ayant un peu peur de ce qu’il pourrait recevoir en retour…Ce qui le rend, malgré lui, bien plus chaleureux et attachant qu’il ne souhaite paraître aux yeux des autres.

# Physique :

Arthur n’est pas vraiment du type à prendre bien soin de son physique (sinon, il ferait quelque chose avec ces horribles sourcils, déjà, et il se laisserait au moins kidnapper gentiment pour une petite visite au salon de beauté, section épilation.) Les conseils enthousiastes de son voisin français ne serviront pas à grand-chose. Mais Arthur a une qualité rédemptrice : celle de faire attention à tout ce qui s’apparente à la convention et aux choses « bien faites ». Ce qui pourquoi vous le verrez rarement en tee-shirt tâché de graisse et en vieux jean troué (bon, sauf s’il a un peu bu et voulait se le jouer un peu punk old school, style « The Clash ».) Autrement, il se revêt habituellement de vêtements fort corrects. Une belle chemise, un pantalon bien repassé et le tour est joué. Ne pas oublier les boutons de manchette. Cravate, évidemment ! Pour qui le prenez-vous, honestly ! D’accord, il s’autorisera bien un pull tricoté pour les jours de pluie. Pour les grandes occasions, un beau complet à la mode du siècle dernier dans lequel il semble se mouvoir avec une certaine aisance (c’est une qualité non négligeable, dans ces habits raides et grattants). Elégants…ou juste ringards ? Le point de vue varie grandement. Tout le monde (à part une nation que je vous donne le soin de deviner vu ce qui suit) est juste tombé d’accord sur le kilt : absolument, absolument PAS mettable.

Que dire sur la silhouette de ce cher Arthur, sous ces couches de vêtements (souvent nombreuses, vu le temps pourri dont il bénéficie)? Que peut-on discerner sous cette chemise amidonnée à souhait ? Ses admirateurs pourraient lui attribuer un corps mince, pouvant presque être qualifié de « svelte ». Un certain maintien élégant dans cette allure un peu filiforme. Un effet aristocratique qui aurait pu être parfait si la taille d’Arthur n’était pas réduite considérablement de quelques royaux centimètres. Ainsi surgit une opportunité en or pour ses détracteurs (un peu plus nombreux que ses admirateurs, oui, à vrai dire) : celle de le qualifier non pas comme un être élégant mais résolument efféminé ; plus gringalet que svelte ; et ayant plus l’allure d’un vilain petit canard que celle d’un royaume altier. Mais n’écoutons pas la foule de manants ! Car Sir Kirkland exploite à fond la taille qu’on lui a donné, aussi…réduite soit-elle, en se tenant droit comme un « i » à n’importe quelle occasion. N’importe quelle occasion ? Excepté, bien sûr, les occasions où il aura choisi de jouer aux Bernard l’Ermite et de bouder son entourage ; dans ce cas, il sera probablement courbé de mauvaise foi contre une paroi, les mains enfouies avec insistance dans ses poches.

Manifestement, plus un corps propice au bouquinage à l’ombre que le volley-ball sur la plage (quoique, les anglais sont des êtres très courageux…ou suicidaires). Dans un pays où le soleil fait en effet une timide apparition une fois l’an entre deux averses, il va sans dire qu’Arthur ne possède pas non plus le teint doré d’un beach boy quelconque. Au contraire, essayer de se dorer au soleil (généralement à l’étranger) a sur lui plutôt l’effet « rosbif » (sobriquet breveté par Francis, tous droits réservés) : rouge et cuit à point. Ainsi, Arthur demeure résolument pâle. Ce qui ne lui donne pas vraiment meilleure mine et qui, en plus de cela, ne fait qu’accentuer le rouge qui lui monte aux joues lorsqu’il est gêné ou en colère ! Il faut vraiment le faire…Vous vous demandez peut-être qu’il y a à sauver, dans ce personnage qui va finir par nous faire penser à une version antropomorphisée du Vilain Petit Canard. Passons donc au visage en particulier.

La chevelure que possède notre cher Kirkland passe rarement inaperçue. Ses admirateurs pourraient dire qu’elle ressemble à s’y méprendre à la noble crinière du lion emblème de la couronne…- en réalité, non, pour flatter Arthur mieux vaut éviter toute allusion à cette tignasse hirsute d’un blond sale, ayant à peu près la même couleur, la même forme et la même consistance qu’une motte de paille.

Mais passons-en au visage. Un visage, en soi, qui n’est pas désagréable à regarder – des traits qui, sans être digne d’une gravure de mode, sont vifs, bien délimités. Un menton ferme, une mâchoire bien tracée, sans être trop prononcée…Il a juste assez de finesse pour lui donner, dans ses moments de calme, un petit air résolument élégant…Et juste assez de dureté pour les permettre, dans ses moments d’énervement extrême d’avoir tout l’air d’un pirate sanguinaire échappé des Enfers. C’est généralement l’effet désiré. Visage ouverte et honnête, dont les traits s’adoucissent ou se contractent au gré des émotions…Afin d’en juger toute la valeur, il faudrait tenter de faire sourire notre cher anglais…(Ou l’assommer, ce qui est résolument plus facile). En nous aventurant vers l'arcade sourcilière, vous remarquerez peut-être...ahem...bon, d'accord, il est quasiment impossible de les rater. Même Alfred sans lunettes à cent mètres a une chance de les discerner vaguement. Ces attributs étant fort célèbres, je vous laisse le soin de vous les représenter. Et d'imaginer aussi quels effets ils peuvent avoir sur l'expression du visage d'Arthur lorsque celu-ci est entré dans une de ses crises de nerfs. Scary, no?

Mais nous allons conclure sur un aspect tout aussi important, et plus méritant, de ce visage. Car sous ces...choses...volumineuses et brouissailleuses comme la forêt de Nottingham, il y a une paire d'yeux verts vifs. Un vert comme les collines luxuriantes de son pays, gorgées d'eau; comme les forêts dissimulant à peine mille légendes et créatures. Couleur rayonnante. Peut-être si vous réussissez à le regarder avant qu'il n'adopte une attitude tranquille ou acerbe, vous réussirez à saisir - qui sait?- un fragment de son âme. Et à le faire sourire un tout petit peu.

# Mon pays & son histoire :


Une histoire…
Comme celle des grands livres poussiéreux qu’il adore, remplis de chevaliers et de monstres, de fées et d’anges…de grandes guerres, de grandes découvertes…de petites misères et de petites joies…Une épopée tranquille, à l’anglaise. Car au final, tout cela n’est pas bien grave. La vie continue comme toujours, après les conquêtes et les empires…Certaines choses demeurent gravées à jamais…

Cette histoire commence dans un délicieux brouillard – oui, un peu comme celui qui descend souvent sur son cher pays. Un brouillard d’origines et d’influences…Peuples celtes qui lui donnent son nom, qui lui donnent également une naissance…Puis, l’invasion de ce joyeux luron d’Empire Romain, essayant de discipliner l’enfant capricieux. Et repartant, l’abandonnant aux tribus germaniques. Non, il ne reste à l’enfant blondinet aux joues rougies par le froid rien de la chaleur méditerranéenne, juste un souvenir étrange. A peine enfant, à peine existant, et déjà les problèmes commencent dans la famille, mêlée d’influences celtes, germaniques, et bientôt scandinaves…au fil de luttes, des invasions, des assimilations…Vie de tumulte, vie de changement constant…Se rattachant aux légendes glorieuses, aux épopées, aux héros, entre rêve et combat. (Qui l’eut cru ? Une si petite île…). Se disputant avec l’Ecosse, avec l’Irlande (déjà si jeune…). Se façonnant à coups de burin ce mot, « Anglo-Saxon ». Se construisant une véritable identité à travers la lame : batailles violentes et enfantines avec les pays du grand Nord (bah ! Vikings ? Même pas peur ! Enfin juste un peu mais…shh !) Et puis, ensuite, cette rencontre-là… Un grommellement sourd ; un peu de sang aux joues, involontairement ; ce serait sans doute l’attitude d’Arthur s’il en était à raconter sa propre histoire. Car voilà le moment où le jeune Arthur rencontre un blondinet au sourire assuré et au brushing parfait qui va aussi écrire un peu de son histoire. Francis dans l’histoire de qui que ce soit promet bien des ennuis. Ces ennuis-ci étaient intitulés « Invasion normande ». Une nouvelle lignée royale, des nouveaux changements…Et établissent d’une main invisible une rivalité indicible entre deux voisins séparés par un misérable bout de mer. La tension monte ; la révolte menace. Ce ne sont pas seulement des guerres de champ de bataille, à présent. Non. Ce sont des guerres de succession, de diplomatie, où un Arthur à peine adolescent apprend à user d’une certaine verve ironique. D’une certaine attitude supérieure dont il se pare comme d’un manteau d’hermine. Quand il ne se bat pas avec Francis, ce sera avec ses chers frères et sœurs…ces chers et détestables rebelles, refusant de se soumettre à son autorité (Pourquoi ? N’est-il pas bien le meilleur grand frère possible ? L’orgueil l’empêche de comprendre. L’empêche d’entendre ou de ressentir). Et si il est impossible de se disputer avec voisin ou « famille »…ma foi, ses patrons y parviennent fort bien tous seuls. Et deux roses délicates, une blanche et une rouge, deviennent symboles d’une division royale et meurtrière.

Un adolescent, à une époque foisonnant de rebondissements et de découvertes – et des plus belles rencontres, entre Elizabeth I et Shakespeare. Rencontres plus fracassantes, alors qu’il se bat avec un Espagne tout aussi jeune…Juste un petit grain de folie dans l’air, alors que les meurtres et complots s’entrelacent. Révolution. Et Restauration. Epuisé, vidé par tant d’agitation. Et là, en même temps, comme un refuge, comme un refoulement, le commerce fleurit et s’épanouit. Avec lui, la découverte de nouveaux pays. Des pays afin de commercer mais surtout, imposer sa nouvelle puissance. Quelque chose renaît ; ce désir de conquérir de nouveau, d’une manière ou d’une autre. L’Europe n’est pas assez. Visons le monde. Le monde entier…Pourquoi pas ? Et allons jeter un coup d’œil dans ce grand pays inexploré au-delà de la mer et…créons-nous autant de bonheur que de problèmes. Surtout des problèmes. Arthur, soudainement plus adulte que jamais; se sentant plus vieux que jamais…En trouvant Alfred, en créant une famille de par le monde, plus ou moins consentie, il sent la responsabilité qui l’effleure, et une grande vague de fierté. D’autant plus lorsque l’Ecosse s’allie à lui, officiellement, avec une bonne volonté (plus ou moins) ressentie. Le sentiment de créer enfin quelque chose de précieux et de stable. Sentiment détruit lors de l’indépendance des Etats-Unis. Balancé au gré des sentiments, se refermant progressivement ; de quand date cette décision de ne pas montrer de mièvres émotions, de ne jamais perdre la face ? De garder un visage impassible devant les rébellions d’Irlande, qu’il traite avec toute la brutalité d’un frère frustré et blessé dans son autorité (et son affection, même s’il ne le reconnaîtra jamais). De créer un Empire, froid substitut pour quelque chose qu’il aimerait tant avoir et ne trouve qu’à travers la domination…Orgueil grandissant pour lui, et préjugés de plus en plus véhéments pour les autres. L’époque victorienne ; le summum de cette rigidité froide, fière et insensible.

Et puis, tout change. La guerre éclate, et son image tellement assurée tombe en miettes. Affaibli, endetté, voyant déjà un empire s’écrouler. Besoin des autres, et si honteux de l’avouer, de se l’avouer à lui-même…Mais il n’abandonne pas pour autant. Les pays de son Empire le quittent…et il les laisse partir. Il boude le contact avec ses voisins d’Europe…avant de les supplier de le laisser entrer dans leur club quelques années plus tard. Il supporte à peine le gamin (SON gamin), bien plus riche, jeune et fort et…finit par demeurer son meilleur allié pour l’infini et au-delà. Il inflige encore sa loi à Irlande…coup magistral qui finit par le couvrir de honte...Oh ! Et découvre la guitare électrique. Qui aurait cru que de toutes les nations possibles, ce serait celle-là dont viendraient les Beatles et les Rolling Stones ?

Tant de choses s’accumulant doucement, dans une existence gagnée par le fer sur un champ de bataille, et maintenue dans le calme digne d’un salon de thé. Une existence qui semblait instable et douteuse presque dès l’instant qu’elle avait commencé. Mais oui, encore bien tenace ! Grand-père aux sourcils broussailleux somnolant près de sa cheminée ? Pas encore. La légende de notre Arthur n’avait pas encore dit son dernier mot ; quelques épopées se profilent sans doute encore à l’horizon, yes sir !








• Behind the screen

Hey toi ! Oui toi derrière l'écran ! Dis nous en plus sur toi.


# Surnom : Clay
# Âge : 18 ans
# Pays : Angleterre et France – mes deux adorables cinglés de pays
# Niveau de RP: Pas trop mal je crois...
# Comment as-tu connu le forum : Je cherchais un beau forum Gakuen Hetalia...Et voilàà <3
# Un commentaire ? : J'aime bien la cuisine anglaise moi! 8D (Et c'est vrai).
*Commentaire UN PEU plus sérieux*: Je me vois dans la nécessité de...partir en vacances *bam* pendant une semaine. Je suis désolée, je pourrai seulement terminer ceci à mon retour! *grands yeux humides de licorne*
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Dernière édition par Arthur Kirkland le Mer 21 Juil - 3:14, édité 4 fois

# Nom : Kirkland # Prénoms : Arthur # Age : Malgré sa mentalité de vieux lord, voilà encore un fringuant (humm) jeune homme qui trébuche sur les 23 ans. # Pays: Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, je vous prie ! # Continent: Arthur demeure sur sa petite île à contempler l’Europe continentale d’un air snob. Officiellement, Europe. # Sexualité : Aussi ambiguë qu’un texte de Shakespeare, et aussi obscure que le contenu d’un pudding anglais 8D (Hum, sérieusement? On va dire bisexuel!)