« Hey ! It's me ! »
•ID CardUn peu d'infos, bah ouais je suis pas John Doe ! *bus*  | # Nom : Karpusi
# Prénoms : Heracles
# Age : 27 ans
# Pays: Grèce
# Continent: Europe
# Sexualité : J'aime... les chats... |
• My CountryMa personne sous toutes les coutures...# Caractère : (minimum 5 lignes) Contrairement à ce qu'on peut penser aux premiers abords, Heracles est loin d'être stupide, même si on peut avoir l'impression qu'il ne se passe rien dans sa tête. Au contraire, elle est plutôt bien remplie, c'est juste qu'il le cache. C'est juste qu'il aime la simplicité. Il préfère ne pas se compliquer la vie et rester simple.
Sa lenteur ai la preuve qu'il n'aime pas se presser. Il prend toujours son temps pour faire ce qu'il a à faire et ainsi, avoir plus de chances qu'elles soient bien faites. Quoi qu'on puisse en dire, quand le Grec a décidé de faire quelque chose, il le fait jusqu'au bout, sans jamais abandonner, même si ça doit lui prendre un temps fou. Heracles n'est pas du genre à laisser tomber.
Calme en permanence, il éprouve aussi une certaine attirance pour la sieste. Surtout lorsqu'il n'a rien à faire. Par exemple, au beau milieu d'une bagarre sans importance, il ne faut pas être surpris de voir le Grec endormit car même s'il était éveillé, il ne ferait rien. Sauf si un de ses amis est dans la bagarre. Là, il n'essayera pas de se battre en prenant le parti de son ami, mais il préférera les séparer et y mettre fin. Heracles préfère rester neutre plutôt que de prendre parti. Lorsqu'il est réveillé, il est souvent en présence de chats. Il les aime beaucoup, mais pas seulement parce qu'ils sont mignons. Il trouve qu'il leur ressemble et pas seulement parce qu'il sort souvent. Je garde un certain mystère et je ne vous éclairerais pas plus sur ce sujet. Mais Heracles n'est pratiquement jamais seul, il y aura toujours un ou deux chats (même plus) pour lui tenir compagnie. Ce sont ses amis. Ses amis sont des animaux mais il ne s'en plaint pas. N'étant pas très bavard, il ne va pas vraiment vers les autres êtres humains donc niveau amitié avec eux, il n'y a pas grand-chose.
# Physique : (minimum 5 lignes) Alors, le physique... Heracles est... bah, grand. Il n'est pas "très" grand, mais on ne peut pas dire qu'il est petit. Un peu au-dessus de la moyenne en fait. Ses cheveux bruns descendent jusqu'en bas de sa tête, avec certaines mèches plus courtes que les autres. Quant à sa frange, elle recouvre son front, allant légèrement sur le côté pour éviter de masquer ses yeux verts émeraude. Pour en revenir à ses cheveux, il a une mèche derrière la tête qui commence par aller tout droit vers le haut, puis, elle se divise en deux afin de former deux spirales de sens opposées.
Sinon, bien qu'il fasse assez chaud en Grèce (surtout en été) il n'est pas particulièrement bronzé. Il n'est pas pâle non plus. Dans la moyenne quoi. Il y a des personnes comme ça, qui ne bronze pas, c'est incroyable.
Mais bref, niveau vestimentaire c'est principalement un grand t-shirt blanc... ou bleu, ça dépend. Il met son manteau beige sur ses épaules, le laissant flotter dans le vent (si vent, il y a) et porte un pantalon de la même couleur que son manteau. Ses chaussures, ou plutôt, ses bottes, elles, sont marrons foncés. Vous voyez que niveau vêtements, il ne se complique pas la vie et il a bien raison.
Heracles n'est pas le genre de personne qui extériorise beaucoup. Il garde ses émotions pour lui, laissant un visage neutre en permanence et même un regard qui peut exprimer la fatigue.
# Mon pays & son histoire : (minimum 10 lignes)
Un chat. Un bébé. Une amitié. Depuis son plus jeune âge, Heracles adorait déjà les chats. La petite boule de poile se frottait contre sa joue rose et, avec sa petite main, Grèce lui rendait ses caresses. C'était une scène bien attendrissante qui se trouvait dans les bras de Rome. Lui, l'observait d'un oeil et de l'autre, admirait le paysage, plus particulièrement les bâtiments. Il appréciait beaucoup l'architecture Grec. Au fil des années, il avait commencé à s'en inspirer de plus en plus mais, étrangement, il ne se lassait jamais de regarder ce style qui était unique aux Grecs... avant qu'il n'arrive.
Quelques années plus tard. Heracles était en train de jouer avec un chat lorsqu'il vit passé un Rome avec un air préoccupé. Tout d'abord, il ne s'en préoccupa pas. Il n'aimait pas Rome. C'était un homme qui était venu s'installer sans qu'on ne lui demande, qui avait commencé à copier le style de sa mère, Grèce Antique. Et pas seulement au niveau de l'architecture. Si Rome n'avait pas été là, la vie aurait été tout autre. Peut-être que sa mère serait toujours là. Il n'y avait aucune certitude possible. Les choses sont comme elles sont, on ne les change pas. Soudain, le chat le sorti de ses pensées en sautant de ses genoux et se mit à courir en direction de la sortie. Heracles se leva et se mit à sa poursuite, se demandant pourquoi il avait agi aussi brusquement. Il le coursa un bon moment lorsqu'il se cogna contre quelqu'un et tomba en arrière.
_Désolé...
Lorsqu'il releva la tête, il ne put voir correctement la personne à cause du masque blanc qui cachait son visage. Mais malgré le masque, il put deviner que l'inconnu le regardait avec un léger sourire qui ne rassurait pas tant que ça le jeune Grec. C'était le genre de sourire qu'on a lorsqu'on est intéressé par la chose ou dans le cas précis, la personne qu'on regarde. Heracles se releva et repartit en direction de sa maison, où devait se trouver Rome, laissant l'inconnu seul. En y réfléchissant à deux fois, ce qui était de mauvais augures pour Rome l'était peut-être aussi pour lui.
Un peu plus tard, l'inconnu revient et pas dans un esprit d'amitié. Heracles compris pourquoi Rome était préoccupé. L'inconnu s'appelait Turquie et il commençait à marcher sur ses terres. Grèce n'y fit pas exception. Turquie avait quelque chose d'effrayant pour lui. Peut-être parce qu'il était grand et fort et que lui était petit et fin. Il essaya de fuir pour ne pas se retrouver dominé par cet homme masqué mais ça ne servi qu'à retarder l'inévitable. Il ne fallut pas longtemps au turc pour dominer la Grèce. Heracles était passé des mains de Rome à celles de Turquie. Il essaya de se consoler. Son nouveau tuteur ne devait pas être pire que le précédent. Et puis, les chats seraient toujours là pour lui tenir compagnie.
Indépendance. Les années avaient passé et Grèce avait continué de grandir sous l'autorité de Turquie. Il avait pu conserver sa religion, sa culture, il avait donc une certaine liberté. Mais pas une liberté totale. Il était sous le commandement Turc et ça, il ne pouvait pas l'oublier. C'est dans ce contexte que le mot « Indépendance » parvint à ses oreilles. On parlait de mouvements indépendantistes dans les colonies américaines. Des mouvements qui s'avérèrent une réussite. C'était pendant le siècle des lumières et en ce temps-là, on redécouvrit l'Antiquité Gréco-romaine. Heracles était fière qu'on parle de ses racines.
Il se promena accompagné de quelques chats. Les chats étaient libres. Ils n'obéissaient à personne et vivaient leur vie comme bon leur semblait. Et pourquoi pas lui ? Il y avait bien des mouvements indépendantistes en Amérique... La liberté... Pourquoi il n'y aurait pas droit ? Le seul problème... c'était Turquie. Il ne le laisserait pas partir comme ça, il le savait bien. Alors comment ? Se battre ? Avec quelles armes ? Evidemment, c'était une grande décision à laquelle il se devait de réfléchir. Turquie est un adversaire puissant et Heracles était encore très jeune... Mais l'idée de liberté resta dans son esprit et il désirait de plus en plus y avoir droit.
C'est alors qu'il rencontra Russie. Il était devant une église Grec. Intrigué, Heracles vint à sa rencontre, accompagné, comme toujours, de chats. Ils bavardèrent longtemps. Sans trop savoir pourquoi, la conversation dériva sur lui et Turquie et Heracles avoua qu'il aimerait bien se libérer de Turquie, être indépendant. Il ne savait pas très bien pourquoi il avait confié ça à Russie... Ce dernier eu une réaction à laquelle Grèce ne s'attendait pas. Le russe lui fournit des armes pour se battre. Il le remercia mais n'a jamais compris pourquoi le russe s'était intéresser à sa cause et pourquoi il l'avait aidé. Cependant, maintenant qu'il avait des armes, il se sentait obligé de se battre. Et puis, il n'allait pas laisser passer cette chance d'être libre. Il prit donc les armes, en donna à son peuple et partit pour la bataille. Mais il n'avait pas eu assez d'armes et Turquie envoya une armée afin de le calmer. La bataille eu vite un vainqueur et ce n'était pas les grecs. Ils s'étaient rapidement fait battre. Heracles n'avait pas vraiment l'habitude de se battre alors que Turquie, lui, avait l'habitude. Cependant, il n'abandonna pas. C'était exclu.
Un peu après, 1774. Grèce était tout seul dans le jardin. Enfin... tout seul... avec quelques chats, comme d'habitudes. Turquie se faisait absent bien souvent. Et quand il le voyait, il avait certaines blessures. Sans-doutes était-il en train de se battre. Grèce ne put avoir de renseignement sur ce que faisait exactement le turc. Soudain, une ombre s'abattit sur lui. En relevant la tête, il reconnut tout de suite le visage souriant du russe. Mais qu'est-ce qu'il faisait là ?
_Je te protège à présent.
Quoi !? Avait-il bien entendu ? Que c'était-il passé pour que le russe le protège ? Voyant qu'Heracles avait un gros point d'interrogation au-dessus de sa tête, Russie lui révéla tout. Qu'il s'était battu contre Turquie et qu'ils avaient à présent signé un traité comme quoi le russe protègerait les orthodoxes, donc la Grèce. Heracles savait que Russie s'intéressait beaucoup à ses églises orthodoxes mais quand même... Il fut assez surpris. Décidemment, ce russe était surprenant. Faisait-il ça par charité ou avait-il une idée derrière la tête ? Peu importe. Il était sous la protection de quelqu'un et ça ne pouvait que l'aider. D'ailleurs, après ça, la vie fut plus facile. Mais l'idée d'être indépendant ne l'avait pas quitté. Et ainsi...
25 mars 1821. Il avait réfléchi, et il s'était enfin décidé. Ce jour-là, Heracles déclara le début des guerres d'indépendances. La première bataille ne fut pas une victoire Grecs. Deux tentatives, deux échecs...ça aurait pu déprimer beaucoup de personne mais Heracles était plus motivé que jamais. De ses échecs, il apprenait ses erreurs, il ne pouvait que s'améliorer aux techniques de combat alors que Turquie restera au même niveau. Il devait frapper un grand coup. Le turc le sous-estimait sûrement. Il devait en profiter. Après quelques moments de réflexions, il se décida. Il avait besoin d'un peu plus d'argent. La ville de Tripolizza lui fournirait ce dont il avait besoin. Il commença ainsi, le siège de Tripolizza, étant sûr de trouver de l'argent. Siège qui s'annonça être une victoire pour le grec. Il n'était pas très fier de lui, car il y avait eu beaucoup de mort lors de ce siège. Même si ces morts étaient des turcs. Mais il devait se réjouir de cette victoire. Et le 12 janvier 1822, il se déclara indépendant. Il croyait que tous les soucis seraient finis... Et pourtant...
Turquie ne mit pas longtemps à se remettre des actes de Grèce. Il ne désirait qu'une seule chose : la vengeance. Il organisa, dans sa plus grande colère un massacre, qu'il dirigea sur une île Grec : Chio (ou Scio, les deux sont bons). Enormément de Grecs perdirent la vie et les survivants furent réduits à l'esclavage. Rare sont ceux qui ont réussi à y échapper. Ce fut un énorme coup pour le grec. Il ne pensait pas que cette histoire irait jusque là. 4 mois plus tard, Turquie lança une nouvelle offensive pour bien montrer à Grèce qu'il était le plus fort et lui le plus faible. Mais Heracles ne voulait pas céder. Il serait indépendant, que le turque le veuille ou non. Et il triompha. Il vaincus la Turquie. Il espérait qu'enfin, il laisserait tomber l'affaire et le laisserait être libre.
Le seul problème, c'était que maintenant que les combats avec Turquie cessaient, il eu droit à une guerre civile. C'était inévitable. Maintenant qu'il était tranquille, il fallait savoir qui aurait le pouvoir. Heracles n'y avait pas vraiment pensé jusque là, mais il pensait qu'une guerre civile n'arrangerait pas les choses. Et même qu'elle ne servirait à rien.
Pas plus tard que l'année suivante, Turquie envoya le fils de son vassal Egyptien en Grèce. Heracles trouvait que ça sentait mauvais cette histoire et il avait raison. Il y eu énormément de batailles mais les Grecs enchaînèrent défaites sur défaites, perdant ainsi de plus en plus de territoire. Et ce pendant quelques années.
Russie fût le premier à revenir près d'Heracles pour l'aider. Il proposa un ultimatum au sultan (1826) qui céda. En voyant ça, Angleterre proposa une médiation. Trouver un accord pour stopper les hostilités entre Heracles et Sadik. Heracles fût bien obligé d'accepter, il ne lui restait plus grand-chose. Mais l'idée de faire la paix avec Turquie ne lui plaisait pas vraiment. En tout cas, Turquie, lui, refusa. Ce fût une chose pas très étonnante de sa part. Du coup, Arthur, Francis et Ivan menace Turquie de faire une intervention militaire. Heracles ne compris pas très bien ce qui se passa après. Apparemment, les trois puissances avaient fait plus que menacer et avaient détruits la flotte Turco-égyptienne... Et apparemment, ils n'avaient pas fait exprès... Chose assez bizarre quand même. Faire couler une flotte sans faire exprès, faut le faire.
Puis, Ivan commença à faire sa petite conquête. Il commence à envahir certains endroits de la Turquie. En voyant ça, Arthur a préféré éviter qu'il ne prenne Constantinople. Il y remédiât avec diplomatie : en février 1830, Heracles devint enfin indépendant. Une indépendance garantie par les trois puissances qui l'avaient aidé à l'obtenir. Il leur en était très reconnaissant. D'accord, il n'était pas entier et il dut encore lutter pour regagner quelques terres qui lui appartenaient avant tout ça mais il était heureux.
Mais, les trois puissances imposèrent un roi à Heracles. Roi qui imposa la monarchie absolue. Il n'avait pas fait tout ça, lutté pour la liberté de son peuple pour que ce soit une personne qui dirige et le reste qui obéit. En 1843, le peuple provoque un coup d'Etat et on rassembla une assemblée constituante. Régna ensuite un autre roi, puis il n'y eu que des successions de République et des restaurations monarchiques. Monarchie qu'il décida d'abolir définitivement en 1974. Bah oui, il était indépendant, mais il fallait bien essayer plusieurs régimes politiques pour trouver celui qui conviendrait le mieux.
Enfin tranquille. C'était ce qu'il avait cru. Mais il ne fût pas épargné par la Seconde guerre mondiale. Italie envoya à Grèce un ultimatum inacceptable. Il avait déjà eu Rome sur le dos, il ne voulait pas avoir les petits fils. Il répondit donc Non à cet ultimatum. Après, évidemment, il y eu un bon petit conflit et une fois qu'il en était sorti, il y avait la guerre froide qui entraîna une guerre civile jusqu'en 1949. Après, une dictature par des colonels de 1967 à 1974. Il avait vraiment du mal à se trouver un système politique convenable, mais il ne désespéra pas. La preuve, il réussit même à entrer dans l'union européenne.
Aujourd'hui, il a trouvé un régime politique correct, mais il s'est au niveau économique qu'il a des problèmes.
• Behind the screenHey toi ! Oui toi derrière l'écran ! Dis nous en plus sur toi.# Surnom : Riru
# Âge : 15 ans
# Pays : Paumé au milieu de la France, là où c’est tout plat !
# Niveau de RP : Euh… Il y a pire je pense…
# Comment as-tu connu le forum : Un certain Etat m’en a parler…
# Un commentaire ? : Ochi! (attention, ce simple mot a valu une fête deuxième national greque)
# Code de validation : (Bah oui, il faut bien vérifier que tu as lu le règlement petit malin ! =P) [Code juste - Raivis]
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