Nom : Milovic
Prénom : Lina
Âge : 17 ans
Grandeur : 1 m 60
Pays : Kosovo
Un peu plus sur vous : Lina se bat au quotidien pour se faire reconnaitre de tous. Elle a vécu en premier avec papa empire ottoman qui lui a appris beaucoup de choses mais a ensuite été récupéré par frérot Serbie, contre son grès. Malgré le fait qu'elle aime et se sente appartenir à frérot Albanie, elle a été maltraité et soumise à Serbie. Mais la kosovar s'est battu, et avec l'aide de son frère adoré Albanie, elle a prononcé son indépendance unilatéral. Elle se bat depuis pour survivre après une guerre... Elle adore les contes de fées, d'ailleurs, elle transporte presque toujours sur elle un recueil. Elle est très naîve, très curieuse et veut découvrir le monde et se faire des amis. Mais elle est aussi tourmentée et souvent triste du fait de ses nombreuses blessures, plus psychologique que physique. Elle a plus que des sentiments fraternels pour son frère albanais et ils entretiennent une liaison mouvementée, fait des câlins de frère/soeurs et d'amants... Elle le veut pour elle toute seule, mais il l'a repousse des fois.
Comment vous avez connu le forum ? : Google, mais en fait j'étais déjà sur un forum Hetalia où je m'engueulais tout le temps avec une Autriche... Alors, j'ai cherché un autre et je vous ai trouvé ! Amen !
Code de validation : Ja !
Double compte ? :Non
Je rajoute un petit tes rp pour le plaisir d'écrire ~
Une main bougea sur le drap blanc froissé. Cette main blanche et pur agrippa ce drap blanc à l'image de son propriétaire et le froissa. La jeune fille se réveillait tout doucement et cherchait à ramener le couverture, tombé au bas du lit. Elle n'agrippa qu'un drap froid et se retourna mécontente. Les oiseaux chantait au loin, le soleil se levant au loin, la brise froide rentrant dans la chambre blanche. Un papier s'envola d'un bureau, volant jusqu'au lit et se posant avec grâce, comme ci un dieu l'avait guidé. La jeune femme bougea légèrement, s'asseyant sur le lit gelé, pour se réveiller. Elle attrapa le papier, le froissa et le jeta par terre. Sans un bruit, elle s'étira et tourna la tête vers la fenêtre encore ouverte. Elle regarda les rideau bleu voleter et soupira. La fatigue se faisait encore sentir, mais l'absence de son compagnon surtout. Elle posa sa main droite sur la place vide qu'occupait habituellement Serbie. Elle était vide, froide comme toute cette pièce depuis plusieurs jours... Elle ne regrettait pas son choix... Mais ce changement... Était-elle prête ? Elle se posait cette question depuis tant de jours, mais aucune réponse ne sortait jamais... Elle se levait doucement, repoussant le drap sur le côté, enfilant une robe de chambre écarlate pour se réchauffer. Mais rien ne la réchauffait... Son cœur était si gelé que rien ne pouvait la réchauffer. Elle marcha, faisant quelques pas dans sa prison... Cette chambre luxueuse où elle passait sa vie, ce palais tout autant luxueux où elle passait ses journées, ce pays désastreux qu'elle voulait quitter... Rien n'était pour elle plus douloureux que de n'être rien, rien qu'une région au service d'un pays... Elle qui aimait la liberté étouffait depuis tant d'années... Mais ce sera bientôt fini... Dans quelques jours, elle ne pourrait plus revenir en arrière... Elle se déplaça légèrement jusqu'à la fenêtre et sorti sur le balcon. Au loin, des fumées noires s'élevaient vers le ciel, signe des combats qu'elle menait, elle et son peuple, contre le joug serbe, depuis plusieurs semaines... Les terres étaient brulées, les hommes tués, les femmes violées et les orphelins ne se comptaient plus... Pourtant, rien n'était perdu car elle avait un plan. Elle agrippa la balustrade et ferma les yeux pour ressentir toutes ces petites choses insignifiantes qu'elle aimait... Elle les rouvrit quand un bruit se fit entendre dans la chambre.
Elle se retourna et vit Serbie, devant elle, à la regarder en robe de chambre. Il s'approcha mais elle le cogna à l'épaule en rentrant dans la chambre. Elle ne lui adressa pas la parole, refermant tranquillement la porte fenêtre qui permettait d'accéder au balcon. Il la toucha, essayant de la retenir contre elle lorsqu'elle voulut se retourner pour partir, mais elle le repoussa dans mouvement de bras. Elle faisant comme ci il n'existait pas depuis plusieurs semaine... Sa guerre contre lui était un supplice pour son cœur, mais elle ne lâchait pas, sentait son cœur se détachait de son bourreau. Elle rangea quelques papiers, plia quelques pantalons, faisant des choses habituels et quotidiennes comme ci Serbie n'était plus là, pas là... Elle n'en voulait plus... Elle le repoussa et sortit. Mais avant qu'elle ne soit complètement partie de la chambre, Une voix l'interrompit.
-Lina... Pourquoi ?
Pourquoi ? Un mot qui lui fit peur. Mais elle ne fléchit pas, traversa la porte en murmurant.
-Liberté... Liberté, mon amour...
Après cette entrevue, elle sortit du palais sous les regards interloqués des serviteurs. Elle n'était jamais sortie.. Elle prit une voiture et partie... pour toujours... Elle s'arrêta plus loin, sur une colline et regarda la vieux bâtiment. Elle ne resta pas longtemps, ayant peur de fléchir.
La route jusqu'à l'aéroport ne fut pas très longue, mais dura une éternité pour notre jeune femme. Elle n'avait emporté que son livre qu'elle gardait toujours sur elle, préférant voyagé léger. Pour ce qu'elle avait à faire... Habillé d'un mini jupe grise, d'un haut évasé rouge et d'une veste écolière marron, elle ne passait pas inaperçu, mais de ça, elle s'en fichait... Elle prit un billet pour Rome et attendit le départ, assise sur un siège dur. Le confort du palais lui semblait si lointain, et les souvenirs l'assaillaient. Elle devait être forte, ne pas sentir ce mal au fond d'elle... Toutes ces nuits si chaude, plongée dans le corps et l'amour qu'il lui portait. Tout était-il vraiment fini ? Ne pouvait elle pas revenir en arrière ?Ces réflexions intérieurs stoppèrent net quand une voix annonça l'arrivée de son avion. Elle se dirigea vers le pont d'embarquement et passa le contrôle avant de s'enfoncer dans l'appareil qui l'amènerait à ces rêves...
Le voyage fut long et l'arrivée dans Rome fut une bouffée d'air frais pour elle. Lina prit immédiatement un taxi, en direction du siège de la réunion des pays sur le climat. Tout (ou presque)
les pays seront présents et elle avait quelque chose à faire là bas... Elle paya le taxi avec l'argent qu'elle avait emmagasiné et volé à Serbie avant son départ, échangé en euros à l'aéroport. Elle ignora les regards pervers du chauffeurs sur son décolté et marcha le reste du chemin. Plus aucune question se bousculait dans sa tête... Elle était sûre de son choix maintenant... Pourtant, elle n'arrêtait pas de tripoter le collier que Serbie lui avait offert et qui représentait leur union. Ce reste de son ancienne vie... Elle arriva devant le grand bâtiment, surveillé par un nombre incalculable de gardes italiens et s'avançait dans la foule de journalistes et de touristes en quête d'image ou d'interview. Elle arriva au poste de gardes, qui l'arrêtèrent. Elle expliqua sa venue par un imprévu en Serbie et les gardes la laissèrent passer, reconnaissant Lina comme une région très attachée à Serbie. Pourtant, personne ne savait quels étaient ces vraies sentiments à son égards...
Une immense porte la séparait de son destin. Elle s'arrêta devant et soupira. Qu'allait-elle devenir après ça ? Arrivera-t-elle à survivre ? Elle ne savait pas, ce qu'elle faisait était sûrement suicidaire, mais là, à ce point, elle ne pouvait reculer. Elle improviserait au moment voulu, chercherait de l'aide dans les grandes puissances européennes... Elle se débrouillerait sans lui ! Elle poussa la porte avec force et entra en faisant claquer ses bottes. Tout les pays se retournèrent et la regardèrent, se demandant ce qu'il se passait. Certains se retournèrent vers Serbie, qui blêmit en sentait ce qui se passait et ce qui allait arriver. Lina monta sur la table et au centre du monde, elle déclama haut et fort ce qu'elle avait à dire.
-Moi, Lina Milovic, région de la Serbie, m'auto proclame indépendante à partir de ce jour. Le Kosovo n'est donc plus une région, mais un pays à part entière.
Elle se dirigea vers Serbie, le défiant de son regard noir plein de haine. Elle arracha le collier et le jette sur ses papier.
-C'est fini...
C'était tout ce qu'elle avait trouvé à dire. Plus rien ne sortait de sa bouche, et elle sortit comme elle était entré, dans un silence et un calme religieux. Dehors, après avoir déboulé les marches du bâtiment et courut le plus long possible, elle s'arrêta. Elle se trouvé devant le Colisée, tremblante de ce qu'elle venait de faire. C'était fait... Le monde entier savait... Elle n'avait plus qu'à attendre et reconstruire son pays tout neuf, mais en piètre état...
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! (J'ignore qui est l'autre Autriche sur l'autre forum, mais je suis pas elle 
. ) Bienvenuuuuue !