{{ Ryan Clark, Ontario ~

« Hey ! It's me ! »

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Un peu d'info, bah ouai je suis pas John Doe ! *bus*

• My Country
Ma personne sous toutes les coutures...

# Caractère : Ryan est un garçon prétentieux qui croit que tout tourne autour de lui. Il est du genre à ce moqué des malheurs des autres, tant que lui n’est pas malheureux. Dans le cas présent, il pleure comme une fillette, soit quand il a plus de 3 centimètre de neige ou dans le but de se faire remarqué. Insulté les autres pour ce remonté est sa vie, et lui-même est sa raison. Il n’est pas vraiment sociable, sauf quand quelqu’un fait le lèche botte (sauf quand c’est lui envers Canada) C’est passion ce résume à lui-même, et aussi au Maple Leaf de Toronto. Il adore le hockey, son sport préféré, et les match contre le Québec sont c’est préféré ( quand Toronto gagne, ce qui est assez rare) Ryan passe sont temps à nargué les autres provinces, puisqu’il a la capitale de Canada. Il se vante aussi d’avoir une ville du nom de London, comme London en Angleterre, puisque Arthur est son modèle.Il croit qu’il sait tout sur tout et sur chacun, mais au fond, Ryan n’as pas beaucoup d’amis. Une des seule raison pourquoi il est connu, c’est pour ses villes, comme Toronto et Ottawa.

Ryan n’as pas seulement que de mauvais côté, malgré qui soit égoïste, prétentieux, péteux de broue, pense bon et tout ce que vous voudrez qui peut définir quelqu'un qui se pense le meilleur de l'Univers, il est capable de se montré sympathique lorsque quelqu’un va mal , mais (le mais est signe de mauvaise nouvelle) il est près a poignardé dans le dos des gens qui ont confiance en lui pour arrivé à ses fins, il est donc aussi a un niveau de mesquisme qui dépasse la moyenne. Il est tous de même très peureux, alors il passe son temps caché derrière Matthew, ou s'arrange pour se faire aussi invisible que possible, étant canadien, ce n'est pas bien difficile.
# Physique :
Affichant toujours un petit sourire arrogant, le visage de Ryan est plutôt rond et assez pâle. Il a les yeux bleu clair, derrière ses lunettes à monture rouge. Il est d’ailleurs myope comme une taupe, ce qui lui vaut plusieurs moqueries de ce cher Québec. Son visage est encadré de cheveux blond raide, surmonté d’une ahoge. Ses poils de crâne, par pur mystère mystérieux mystérieusement indimystifié, gonflent lorsqu’ils sont exposé à une petite dose d’humidité. Ça lui fou la honte devant les gens et fait bien rire Québec, mais ça n’arrive pas souvent (vive le spray-net).

La constitution de son code vestimentaire se résume à une chemise, blanche de préférence, car ça fais plus distingué, malgré que quand c’est taché, elle est fini. Il porte toujours une cravate rouge,noir,orange, de toute les couleur sauf bleu. Il porte toujours un chandail des Maple Leaf, des Sénateurs ou encore des Blue Jays quand il ne porte pas de chemise ou quoique ce soit nécéssitant un look chic. Il porte des chandail de ses équipes parce qu'il en est fier peut-importe ce que dise les autres. Il en a de toutes sortes : des manches courtes, des jerseys,un de chaque joueur, des vestes et même quelque manteau, qu’il porte durant les temps froids, ainsi que les éditions limité des jersey de l'époque. Pour les évènement chics, il porte un pantalon noir, comme ceux qu’on voit dans les bureaux, ainsi que des souliers de cuirs, noir aussi. Pour les jours normaux, c’est le même principe, mais avec des jeans troués, car toutes ses paires sont vieilles et Ryan ne souhaite pas les changés.

# Mon pays & son histoire :
Première partie – Canada-Unis
L’histoire commence en 1791, l’année où le Canada fut scindé en deux parties très distinctes l’une de l’autre, le Haut-Canada et le Bas-Canada. Haut-Canada étant principalement peuplé de loyaliste en provenance des nouvellement indépendant États-Unis d’Amérique. Ces loyalistes était venue s’installé dans la province Britannique réssament conquérie. Haut-Canada admirait, et admire toujours, l’Angleterre, au contraire de son confrère francophone qui l’haïssait pour des raisons que Haut-Canada ne savait pas, ne lui ayant jamais demandé et ne voulant pas vraiment les connaître non plus, quoique même s’il aurait voulut les connaître, il aurait demandé à Canada de les lui dire, étant donné que lui et son aîné était incapable de se supportés, ce qui n’a pas changé depuis les années. Lui et Bas-Canada n’était pas fait pour s’entendre, déjà, la première fois que Bas-Canada l’avais vue, il l’avait tout simplement ignoré, lui avait tourné le dos et était partie en lâchant un de ses classiques « Maudit Anglais.», paroles que Haut-Canada n’avait pas compris et n’avait compris le sens que plus tard et avait trouver sa réplique « Stupid Frenchie.», réplique elle aussi devenue un classique, gracieuseté d’Angleterre. Étant beaucoup moins près de son peuple que Bas-Canada, il n’avait pas participé à la guerre des patriotes dirigée par Papineau et Mackenzie, préférant se ranger du côté loyaliste Britannique. Il du se marié avec Bas-Canada, mais l’idée ne lui plaisait pas plus qu’à l’aîné, s’en suivit une autre séparation, puis un autre mariage et une autre séparation, ainsi de suite, et bien sur, à chaque unions, Haut-Canada obtenais un plus grand pouvoir politique et économique que Bas-Canada. Bien sur, il l’avait fait parce que, selon Angleterre et Lord Durham, les canadiens-français auraient tôt fait d’être assimilé, parce que s’ils voulaient obtenir un droit politique et économique, ils devaient être anglais. Le seul problème, c’est que ces francophone était vraiment très tenace et Haut-Canada, n’étant pas très désireux de se remarié avec le Bas-Canada, alla demander à Angleterre et son Lord Durham de changé de technique, histoire de ne plus devoir vivre avec le stupid frenchie. Heureusement pour lui, il n’eu pas à ce remarié avec Bas-Canada, l’aîné semblait lui aussi très content de ne pas avoir à se remarié, ce fut un moment quasi-historique, les deux protagonistes c’était mit d’accord sur une chose : plus jamais de mariage. Restant le petit loyaliste qu’il était, Haut-Canada, devenu capital depuis déjà un moment, obéissait à l’Angleterre, il lui avait quand même donner la priorité sur son aîné, alors la moindre des choses était de faire ce qu’il lui demandais, surtout quand il s’agissait des plans pour assimilé la population française. Il y avait certaine chose que Haut-Canada ne comprenait pas, et ne comprendrait probablement jamais, à propos de Bas-Canada : pourquoi s’entêtait-il à conservé quelque chose laisser pas un soi-disant traître? Pourquoi cet acharnement pour quelque chose que lui, nouvelle province prospère en constante croissance, jugeait banale? Bien sur, il ne pauserait jamais la question et découvrirait la réponse à ses dépends. Tant qu’il continuait à prospérer, tant que tout allait pour le mieux, ce genre de question était sans importance pour la nouvelle capitale, les affaires allait bien et les anglais venait en bon nombres, ils pensait que dans quelque année, le français en Amérique du nord serait de l’histoire ancienne. Mais s’il avait appris une chose sur son aîné, c’était que lorsque celui-ci décidait de ce battre pour quelque chose, il n’y allait pas de main morte, il se battait avec un acharnement tel que, peut-être l’aurait-il admiré s’il n’était pas aussi chialeux, obstineux, grossier, ingrat, bâtard, ignorant, mesquin, chieur, têtue et français. Il trouvait que sont aîné avait tellement de défaut qu’il était dur de tous les nommés, et bien sur, cela valait de même pour ce que Bas-Canada pensait de lui.

Deuxième partie – Révolution du bon sens
Pendant que son chialeux de voisin, Québec, faisait des aller retour de haut en bas sur le graphique de la stabilité, lui, devenait une capitale de plus en plus prospère, avec des gens de partout affluant pour venir s’y installé. L’argent coulait à flot comme une pluie d’argent, son économie allait bien, et du côté politique aussi. Le Canada était maintenant un pays indépendant et Haut-Canada était devenue Ontario et portait maintenant le nom humain de Ryan Clark. Plus ça allait, plus Ontario était arrogant et prétentieux, mais bien sur, il n’y voyait rien de mal, parce que pour lui, il était le meilleur, le plus important et que sans lui, Canada ne serait rien. Il regardait les autres provinces et territoires du haut de sa soi-disante supériorité et n’hésitait pas à s’en vanté, ce qui lui valu quelques bonnes claques derrière la tête de la part de Québec et des autres provinces. Bien sûr, il ce souciait quand même du bien être du pays, tout en prenant bien le temps de rappeler à tous et chacun qu’il était la capitale, il n’oubliait jamais de demander l’avis des autres et d’en prendre compte même s’il répète constamment qu’il pourrait bien s’en passer, surtout de celui du Stupid Frenchie. En plus de ce penser supérieur sur le plan du travail, il se pensait aussi le meilleur en sport, mais il fut bien obliger d’admettre que Québec était meilleur que lui au hockey…Mais seulement au hockey! Même à ça, il prendrais sa revanche chaque année jusqu’à ce qu’il gagne. Ce n’est pas parce que sont équipe à gagné vingt-quatre fois la coupe Stanley et qu’il réussi à lui foutre une raclé à chaque fois qu’il jouait contre lui en un contre un que ça faisait du chialeux de québécois le meilleur non? Enfin, c’était ce qu’il disait, en plus de son baratin sur le « je suis le meilleur et le plus important ». Étant lui aussi un peu chialeux, il n’arrêtait pas de dire qu’il faisait tout le travail, le seul problème, c’est que tout le reste du pays s’en fout, à force de l’entendre ce pété les bretelles sur son statut, les autres avaient fini par l’ignoré complètement. Ce n’était pas si grave que ça, il pouvait bien s’arranger tout seul, c’était déjà ce qu’il faisait de toute façon… Jusqu’à la crise économique qui frappa le pays au complet. Tout comme Québec, il préférait réglé sont problème lui-même, ce disant qu’il n’avait pas besoin de l’aide des autres, jusqu’à ce qu’il réalise bien à ses dépends qu’il en avait besoin en fait. Pour passé à travers cette crise, le pays du ce serré les coudes, ce fut un autre moment historiquement historique de voir toute les provinces et territoires s’aider les uns les autres pour passer cette grande crise. Mais c’était trop beau pour être vrai, parce que dès que la crise fut terminé, tout redevint comme avant, débats, disputes, bagarres et crêpage de chignon firent leur grand retour sur scène. Apparemment, le point commun des provinces était qu’ils aimaient s’énerver entre eux sans répits, c’était tout juste si ça ne faisait pas partie de leur routine, c’était du « je m’oppose à votre opinion juste parce que c’est le vôtre.» et du « j’approuverais l’idée, mais comme c’est toi, je vais dire le contraire. » avec un peu de « tu me cherche!? Alors viens te battre si t’es un homme! », c’était assez dysfonctionelle merci. Malgré tout, ils leur arrivaient parfois de s’entendre sur quelque chose de temps en temps, même si c’était d’une rareté fossilesque.

• Behind the screen
Hey toi ! Oui toi derrière l'écran ! Dis nous en plus sur toi.

# Surnom : Gee, Big Fat Lady, Maki saumon, hors-d’œuvre (Gracieuseté de mes cousines)
# Âge : 14 ans
# Pays : Ô Canada!
# Niveau de RP : Il y a un niveau 0 ?
# Comment as-tu connu le forum : Ma merveilleuse amie 8D
# Un commentaire ? : Désolé pour la fiche vraiment poche, j’ai pas de talent pour ça. 8D
Ps: Désolé, histoire foireuse qui se suit plus ou moins, c'est la faute à Wikipédia. D:

# Code de validation : {Code juste ~ Raivis}

Dernière édition par Ryan Clark le Mar 20 Sep - 16:21, édité 2 fois

# Nom : Clark
# Prénoms : Ryan
# Age : 17 ans
# Pays: Ontario
# Continent: Amérique du Nord
# Sexualité : Reste à déterminé