|| Qui l'eu cru? [PV. Ryan /Yaoi/] {Terminé}

Ryan était bien content que Marcel lui demande de rester dormir avec lui. Ça lui évitait d’avoir à se levé. Il était là, dans les bras de la personne qu’il avait tant détestée depuis le début de son existence. De plus, ses paroles étaient belles. On pouvait y entendre de la tendresse et de l’affection, mais surtout de l’amour. L’ontarien sentait, simplement dans le ton de voix du québécois, qu’il était amoureux. Et ça, ça le faisait encore sourire bêtement. Il était mieux avec lui que seul dans sa chambre pour la simple raison qu’après une soirée aussi torride, il aurait eue froid, tout seul. La chaleur que le corps de son amoureux lui apportait était incomparable, Ryan n’avait jamais rien ressentit de pareil. Et il ne voulait que PERSONNE ne ressente la même chose, en tout cas dans les bras de Marcel. C’était son nouveau bien personnel qu’il allait garder juste pour lui. Malgré tout cela, il avait froid quand même. Les courant d’air passe, on n’y est pas à l’abri, surtout qu’il était nu comme un ver. Il sentit que son beau Marcel l’entourait avec lui dans une couverture. Voilà qui était beaucoup mieux qu’être en habits d’Adam. Il eu une soudaine pensée pour Marcel. Lui qui avait son membre n’avait rien eu en retour. Ryan trouvait cela un peu injuste. Le québécois lui demanda tendrement s’il voulait rester, finalement. Le blond avait bien l’intention de rester, et de lui rendre la pareille en plus.

« Tu parles, que je reste! »

Il força Marcel à se coucher, pour ensuite s’étendre à côté de lui, sans couverture. Il commença par se couché dos à lui, pour qu’il regarde son derrière, puis au bout de quelque instant, il se tourna face à lui. Après avoir resté comme cela un moment, le temps de le laissé regarder ce qu’il y avait à voir, il s’enroula avec lui dans la couverture, coller l’un contre l’autre. Il était bien content de retrouvé le torse et les bras bien chaud de son amour. Il le regarda un moment avant de lui déclaré son amour à nouveau.

« Je t’aime, mon Québec adoré. »

Sur ce, il ferma les yeux et essaya de s’endormir. C’était dur, la journée ayant été à la fois difficile et bizarre. L’entrainement au hockey, son mauvais coup, Marcel qui l’étranglait… Et par la suite, le plus beau de la journée, quand ils s’étaient embrassé bien langoureusement pour ensuite se faire l’amour comme deux jeunes tourtereaux. C’était ce qu’ils étaient, en fait. Mais Ryan se dit qu’il avait passé une journée merveilleuse. Tous simplement.

« Je t’aime aussi, mon précieux Ontario »

Ryan ouvrit les yeux à nouveau, bien heureux qu’il lui dise la même chose. Il vit Marcel fermé les yeux et attendit qu’il s’endorme. Le blond n’était pas vraiment fatigué, il avait plus envie de rester dans les bras du québécois. Il trouvait que c’était rassurant, comme endroit. Il se blotti un peu plus confortablement avant de jeter un coup d’œil au visage de Marcel. Alors qu’il dormait, son visage paraissait serein. Il avait tout simplement un air de gamin qui dort. Ryan ne l’avait jamais vu ainsi. S’il était comme ça chaque nuit, le blond s’y habituerait vite. Il leva un peu la tête vers les cheveux du québécois. Il était tout décoiffé après la soirée. Ryan sourit malgré lui, avant de comprendre que ce devait être la même chose avec les siens. Il essaya de repéré un miroir dans la pièce. Non, il ne sortirait pas de la chambre comme ça. Il passait, chaque matin, au moins une heure à se regardé dans le miroir. C’était une tradition, et il ne pouvait passer par-dessus. Il passa une main dans sa chevelure pour la démêlé un minimum. L’ontarien décida qu’il était finalement le temps de dormir. Il fit quelque bisou sur le visage, le cou et le torse du québécois, avant de blottir sa tête contre lui et de fermer les yeux. Il allait passer une bonne nuit avec son bel amour. Pour s’aider à s’endormir, il lui caressa le torse. Il mit du temps à s’endormir, ouvrant souvent les yeux afin de voir si Québec dormait toujours. Il rêva de bouteilles de sirop d’érables, puis de lui et Marcel. Lorsqu’il se réveilla, bien tôt le lendemain matin, il se dit qu’il avait passé la plus merveilleuse nuit de sa vie. Dans ses songes, il avait vu les trois choses auxquelles il tenait maintenant le plus, dont lui-même. Il ouvrit lentement les yeux et remarqua que le québécois dormait encore. Ryan se leva et enfila son pantalon de la veille, ne souhaitant pas chercher un miroir à poil. Il regarda ce dans quoi il devait fouiller. Un pur et simple chaos. Dans sa propre chambre, l’ontarien était très ordonné, ne voulant pas cherché pendent des heures quelque chose d’important. S’il cherchait un miroir, c’était plutôt facile. Il entreprit de regardé la chambre par section, afin de ne pas trop viré à l’envers la chambre. Malgré que c’était déjà fait, et il n’avait rien à voir là-dedans. Bref, il commença sa recherche. Il ne trouvait rien parmi les vêtements et autres choses qui trainaient ça et là, à son grand désarroi. Passant à la deuxième section, il fouilla dans les tiroirs et, ne trouvant que de vieux trucs des canadiens et des nordiques, changea pour la troisième section. Celle-là, c’était le coin le plus bordélique de la chambre. Ryan se félicita mentalement d’avoir séparé la chambre en section, ce qui était bien plus facile. En fouillant dans le bordel, il fit tomber quelque chose qui fit un fort bruit en tombant par terre. Ryan espéra que Marcel ne se réveillerais pas après le bruit, mais celui-ci ouvrit les yeux. L’ontarien espérait qu’il n’avait rien échappé d’important, sinon, Marcel allait l’étripé. Sauf peut-être après la nuit qu’ils avaient passé. Ryan croisa les doigts.

Ryan regarda attentivement Marcel ramassé le truc qu’il avait fait tomber par terre. Le pauvre n’avait même pas l’air de se rendre compte qu’il était nu devant lui. L’ontarien sourit en regardant son beau corps. Il était très bien fait, son québécois. Le blond l’observa s’habillé. Lui aussi, était tous décoiffé. Quoi de plus normal, après une nuit si chaude et merveilleuse. Parlant de cheveux emmêlés, Ryan retourna à la recherche du miroir. Mais quel bordel. Il sentit une présence derrière lui, qui n’était nul autre que Marcel, qui l’enlaça et l’embrassa. Ses baisers étaient divins, parfait, même. C’était là une preuve qu’ils étaient bel et bien en couple, puisque Marcel lui donnait de l’affection encore ce matin là. Il écouta ce que Marcel avait à dire après avoir mit fin au baiser.

« Tu sais, j’ai pensé à un plan pour répandre la nouvelle, mais je veux savoir si tu es d’accord. »

Voyant que le québécois était près à faire cela pour lui, Ryan sourit. Il le regarda attentivement, près à entendre la suite de son plan.

« J’ai pensé que l’on pourrait s’embrasser devant l’équipe de hockey, dans les vestiaire après l’entraînement d’aujourd’hui. Après ça je suis certain que la nouvelle de ‘Marcel et Ryan sortent ensemble’ se répandrait à une vitesse folle. Qu’en penses-tu? »

Ce plan était très bien, en effet. Ryan avait plutôt pensé simplement se promené main dans la main, ou quelque chose de plus subtil, mais Marcel voulait apparemment que tous et chacun le saches, et Ryan ne demandait que ça, donc il accepterait avec grand plaisir. C’est alors que Marcel se recolla contre lui sans le laissé répondre et il se mit à ronronné comme un chat. Ensuite, il se mit à rougir. Ryan trouvait cela définitivement trop mignon.

« Désolé… C’est sortit tout seul…»

C’était mignon que Marcel ait la même gêne de lui montré son amour. Très mignon, même. Et Ryan n’avait pas l’intention de lui cacher ses opinions.

« Marcel, I think your plan is really great. It’s cute to see that you love me that much. And for this noise, I think that it’s really really cuuuuuuute! Oh, I forgot, do you have a mirror in your room? »

Voilà qui était une bonne chose de faite. Il n’aurait plus à cherché dans le chaos qu’était la chambre de Marcel. Il avait très hâte de l’embrassé devant public. Il faut avouer que l’équipe serait probablement très surprise du nouveau couple constitué de deux jeunes hommes qui s’était étranglé la veille.